Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
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UN BAC… PAS BESOIN DE ÇA !
e CEGEP est fini, vite une job ! Tout le monde
veut un emploi et c’est normal. Plusieurs
avaient horreur de l’école et n’attendaient que
ce moment où ils gradueraient avec le diplôme pour
leur métier et d’autres n’ont simplement envie que de
monter leurs heures le plus rapidement possible. Donc,
pourquoi aller à l’université chercher un diplôme ?
Certains diront qu’ils ne veulent plus étudier, tandis
que les autres répondront qu’ils doivent monter le plus
d’heures possible en le plus court laps de temps et il y
en aura aussi qui lanceront simplement « En quoi un
bac me servirait-il ? »
Premièrement, ceux qui croient avoir fini d’étudier, et
qu’ils sont content de quitter les bancs d’école où un
enseignant était à l’avant de la classe pour les guider
dans leur étude, reviendront peut-être rapidement sur
leur parole une fois rendu dans le métier. En fait, nous
avons tous choisi un des seuls métiers qui nécessite
une étude permanente tout au long de notre carrière !
Nous aurons toujours quelque chose de nouveau à
apprendre, que ce soit un nouvel appareil, un nouveau
système embarqué dans notre aéronef, des nouveaux
règlements suite à un changement de type
d’exploitation, un nouveau poste qui requiert d’autres
connaissances, et j’en passe… Donc, ceux qui ne
veulent pas aller à l’université parce qu’ils croient
avoir fini d’étudier, et bien, détrompez-vous ! D’autant
plus qu’à l’école au moins, l’enseignant nous guide
pour notre étude, tandis que quand votre patron vous
arrivera et vous dira que vous avez un PPC à passer
sur tel appareil dans une semaine, il ne vous suivra pas
toute la semaine pour vous demander comment se
passe votre étude…
En second lieu, ceux qui veulent à tout prix monter des
heures le plus vite possible, en courant pour chaque
petit 0.1 qu’ils peuvent aller chercher, bien ces
derniers, au bout de quelques années, alors qu’ils
auront enfin les licences et qualifications tant
convoitées, vont sans doute vouloir ralentir la cadence
pour pouvoir s’adonner à d’autres activités. Peut-être
trouveront-ils qu’ils auraient dû profiter de leur jeune
temps pour justement aller chercher ce certificat ou diplôme? Pour ma part, je crois que ça ne sert à rien de
trop se « rusher », puisque pour la majorité de ceux qui
sortent du C.E.G.E.P., nous avons environ une
quarantaine d’année de carrière devant nous sinon
plus ! Et je crois que rendu à 60 ans, je ne verrai pas la
différence entre avoir 10 000 heures de vol et 12 000
heures de vol. Je préfère donc, prendre mon temps,
profiter de mes années dans les petites compagnies et
aussi profiter de ces premières années de carrière pour
continuer à étudier, quitte à monter mes heures un peu
moins vite (soit dit en passant, en travaillant à temps
partiel pendant un an, j’ai fait environ 600 heures !).
Troisièmement, l’utilité d’un bac. Pour certaines
personnes, un investissement à long terme est dur à
faire, ça leur prend des résultats MAINTENANT.
C’est sûr qu’avec cette optique, on ne verrait pas
l’avantage d’un bac, puisque après l’obtention d’un
diplôme, nous n’irons probablement pas postuler pour
un poste de comptable chez Samson Bélair/Deloitte &
Touche, ni comme ingénieur pour SNC-Lavalin.
Cependant, à long terme je crois qu’un simple diplôme
ou certificat pour être très rentable. Il se pourrait qu’au
court de votre carrière vous appliquiez sur un poste qui
est très contingenté, c’est alors que votre diplôme
pourrait vous servir, ou encore plusieurs pilotes, une
fois leur carrière bien lancée, décide de débuter
d’autres projets en parallèle. Aussi, sur une note plus
triste, nous savons tous que toutes nos licences, toute
notre carrière, dépend d’un seul petit bout de papier si
fragile que l’on nomme médical. Nous ne décidons pas
de perdre notre médical, mais n’importe qui d’entre
nous pourrait le perdre un jour… c’est alors qu’un
diplôme ou un certificat pourrait vous sauver et vous
aider à vous réorientez dans ce merveilleux monde
qu’est l’aviation.
Finalement, je termine par vous rappeler qu’il y a, à
mon avis, plusieurs très bonnes raisons de poursuivre
nos études à l’université. De plus, il existe différentes
façons d’agencer votre style de vie avec vos études. À
l’université, vous choisissez vos propres horaires, vous
pouvez même étudier à temps complet ou à temps
partiel, donc il est faisable d’accommoder votre
horaire universitaire à votre horaire de travail. Il y a
aussi la Télé-université (Téluq) qu’offre l’UQAM et qui permet de suivre des cours à distance, très utile si vous changez souvent de base. Je crois donc que c’est
un choix auquel il faut bien y réfléchir avant d’y
renoncer…
Charles-David Couture
Finissant 2007 et étudiant à l’UQAC
e CEGEP est fini, vite une job ! Tout le monde
veut un emploi et c’est normal. Plusieurs
avaient horreur de l’école et n’attendaient que
ce moment où ils gradueraient avec le diplôme pour
leur métier et d’autres n’ont simplement envie que de
monter leurs heures le plus rapidement possible. Donc,
pourquoi aller à l’université chercher un diplôme ?
Certains diront qu’ils ne veulent plus étudier, tandis
que les autres répondront qu’ils doivent monter le plus
d’heures possible en le plus court laps de temps et il y
en aura aussi qui lanceront simplement « En quoi un
bac me servirait-il ? »
Premièrement, ceux qui croient avoir fini d’étudier, et
qu’ils sont content de quitter les bancs d’école où un
enseignant était à l’avant de la classe pour les guider
dans leur étude, reviendront peut-être rapidement sur
leur parole une fois rendu dans le métier. En fait, nous
avons tous choisi un des seuls métiers qui nécessite
une étude permanente tout au long de notre carrière !
Nous aurons toujours quelque chose de nouveau à
apprendre, que ce soit un nouvel appareil, un nouveau
système embarqué dans notre aéronef, des nouveaux
règlements suite à un changement de type
d’exploitation, un nouveau poste qui requiert d’autres
connaissances, et j’en passe… Donc, ceux qui ne
veulent pas aller à l’université parce qu’ils croient
avoir fini d’étudier, et bien, détrompez-vous ! D’autant
plus qu’à l’école au moins, l’enseignant nous guide
pour notre étude, tandis que quand votre patron vous
arrivera et vous dira que vous avez un PPC à passer
sur tel appareil dans une semaine, il ne vous suivra pas
toute la semaine pour vous demander comment se
passe votre étude…
En second lieu, ceux qui veulent à tout prix monter des
heures le plus vite possible, en courant pour chaque
petit 0.1 qu’ils peuvent aller chercher, bien ces
derniers, au bout de quelques années, alors qu’ils
auront enfin les licences et qualifications tant
convoitées, vont sans doute vouloir ralentir la cadence
pour pouvoir s’adonner à d’autres activités. Peut-être
trouveront-ils qu’ils auraient dû profiter de leur jeune
temps pour justement aller chercher ce certificat ou diplôme? Pour ma part, je crois que ça ne sert à rien de
trop se « rusher », puisque pour la majorité de ceux qui
sortent du C.E.G.E.P., nous avons environ une
quarantaine d’année de carrière devant nous sinon
plus ! Et je crois que rendu à 60 ans, je ne verrai pas la
différence entre avoir 10 000 heures de vol et 12 000
heures de vol. Je préfère donc, prendre mon temps,
profiter de mes années dans les petites compagnies et
aussi profiter de ces premières années de carrière pour
continuer à étudier, quitte à monter mes heures un peu
moins vite (soit dit en passant, en travaillant à temps
partiel pendant un an, j’ai fait environ 600 heures !).
Troisièmement, l’utilité d’un bac. Pour certaines
personnes, un investissement à long terme est dur à
faire, ça leur prend des résultats MAINTENANT.
C’est sûr qu’avec cette optique, on ne verrait pas
l’avantage d’un bac, puisque après l’obtention d’un
diplôme, nous n’irons probablement pas postuler pour
un poste de comptable chez Samson Bélair/Deloitte &
Touche, ni comme ingénieur pour SNC-Lavalin.
Cependant, à long terme je crois qu’un simple diplôme
ou certificat pour être très rentable. Il se pourrait qu’au
court de votre carrière vous appliquiez sur un poste qui
est très contingenté, c’est alors que votre diplôme
pourrait vous servir, ou encore plusieurs pilotes, une
fois leur carrière bien lancée, décide de débuter
d’autres projets en parallèle. Aussi, sur une note plus
triste, nous savons tous que toutes nos licences, toute
notre carrière, dépend d’un seul petit bout de papier si
fragile que l’on nomme médical. Nous ne décidons pas
de perdre notre médical, mais n’importe qui d’entre
nous pourrait le perdre un jour… c’est alors qu’un
diplôme ou un certificat pourrait vous sauver et vous
aider à vous réorientez dans ce merveilleux monde
qu’est l’aviation.
Finalement, je termine par vous rappeler qu’il y a, à
mon avis, plusieurs très bonnes raisons de poursuivre
nos études à l’université. De plus, il existe différentes
façons d’agencer votre style de vie avec vos études. À
l’université, vous choisissez vos propres horaires, vous
pouvez même étudier à temps complet ou à temps
partiel, donc il est faisable d’accommoder votre
horaire universitaire à votre horaire de travail. Il y a
aussi la Télé-université (Téluq) qu’offre l’UQAM et qui permet de suivre des cours à distance, très utile si vous changez souvent de base. Je crois donc que c’est
un choix auquel il faut bien y réfléchir avant d’y
renoncer…
Charles-David Couture
Finissant 2007 et étudiant à l’UQAC
Because the sky is the limit...!
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
quelqu'un a pris cette voie et peut en témoigner?
Attachez vos cigarettes et éteignez vos ceintures de sécurité.
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- Joined: Sun Aug 26, 2007 8:10 am
- Location: ou la rivière est rouge et la montagne tremble
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.




Toujours plus haut, toujours plus loin
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Salut !
Je ne sais pas si c'est toi qui a écrit ça ou un autre... Si tu veux faire un BAC et que tu as les capacités, je t'encourage à le faire. Ça dépend du BAC que tu vas faire, parce que si tu perds ton médical et que tu as fini un BAC il y a 10 ans et que tu n'as pas touché le domaine dans lequel tu as étudié ton BAC, il va falloir sûrement que tu te recycle, pis de beaucoup probablement. Faire un BAC pour faire un BAC, je pense qu'il faut que tu aimes ce que tu étudies pour que celà ne soit pas pénible.
C'est pas mauvais sur un CV, c'est une facon de voir la chose... j'ai déjà penser comme ca aussi. Mais tu vas t'apercevoir vite que c'est pas le papier de l'université qui va vraiment t'aider (en tout cas, à mon avis à moi). Le jour que je vais perdre mon médical, j'ai des bonnes assurances pour couvrir ma maison (en passant, très important d'en prendre le plus jeune possible et avant d'être pilote... (Mais ca c'est un autre sujet)), et j'irai voir emploi-québec à ce moment pour me réorienter dans autre chose si je ne peux pas travailler dans une autre branche de mon domaine.
Si j'étais toi, je m'organiserais pour monter mes heures, aller chercher de l'expérience, et ensuite, quand tu as la job que tu veux et que tu as du temps à la maison, tu fais un BAC à temps partiel. C'est une option que je pourrais peut-être penser aujourd'hui de faire un BAC à temps partiel, mais plus pour m'occuper ou apprendre de nouvelles choses, pas nécessairement pour m'aider à me trouver une meilleur job.
Oublie pas que c'est possible de devenir pilote si tu as un sec. 3... à beaucoup d'endroit, on ne regarde que tes heures et sur quel type que tu as volé. Mais c'est sûr que tu vas rester probablement toujours dans le 2 et 3e niveau.
Lâche pas ton BAC si c'est ce que tu veux faire. Chacun a sa vision des choses, si pour toi c'est important, fais-le car si je te dis de ne pas le faire et que tu lâches, peut-être qu'un jour tu vas regretter mon conseil. Bonne chance !
Je ne sais pas si c'est toi qui a écrit ça ou un autre... Si tu veux faire un BAC et que tu as les capacités, je t'encourage à le faire. Ça dépend du BAC que tu vas faire, parce que si tu perds ton médical et que tu as fini un BAC il y a 10 ans et que tu n'as pas touché le domaine dans lequel tu as étudié ton BAC, il va falloir sûrement que tu te recycle, pis de beaucoup probablement. Faire un BAC pour faire un BAC, je pense qu'il faut que tu aimes ce que tu étudies pour que celà ne soit pas pénible.
C'est pas mauvais sur un CV, c'est une facon de voir la chose... j'ai déjà penser comme ca aussi. Mais tu vas t'apercevoir vite que c'est pas le papier de l'université qui va vraiment t'aider (en tout cas, à mon avis à moi). Le jour que je vais perdre mon médical, j'ai des bonnes assurances pour couvrir ma maison (en passant, très important d'en prendre le plus jeune possible et avant d'être pilote... (Mais ca c'est un autre sujet)), et j'irai voir emploi-québec à ce moment pour me réorienter dans autre chose si je ne peux pas travailler dans une autre branche de mon domaine.
Si j'étais toi, je m'organiserais pour monter mes heures, aller chercher de l'expérience, et ensuite, quand tu as la job que tu veux et que tu as du temps à la maison, tu fais un BAC à temps partiel. C'est une option que je pourrais peut-être penser aujourd'hui de faire un BAC à temps partiel, mais plus pour m'occuper ou apprendre de nouvelles choses, pas nécessairement pour m'aider à me trouver une meilleur job.
Oublie pas que c'est possible de devenir pilote si tu as un sec. 3... à beaucoup d'endroit, on ne regarde que tes heures et sur quel type que tu as volé. Mais c'est sûr que tu vas rester probablement toujours dans le 2 et 3e niveau.
Lâche pas ton BAC si c'est ce que tu veux faire. Chacun a sa vision des choses, si pour toi c'est important, fais-le car si je te dis de ne pas le faire et que tu lâches, peut-être qu'un jour tu vas regretter mon conseil. Bonne chance !
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
personnellement je ne voulais que publier l'article. c'est sorti dans le journel des anciens du cqfa. je sais que le débat, tel qu'on dit sur la partie anglaise du forum, est ''exhausté'' cependant, un peu de piquant de temps en temps ne peut pas faire de mal
Maintenant, BAC ou pas BAC, un avion est un avion. Quant à moi, j'en ai deux bacs, un vert et un bleu...

Maintenant, BAC ou pas BAC, un avion est un avion. Quant à moi, j'en ai deux bacs, un vert et un bleu...

Because the sky is the limit...!
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Pour ma part, je suis sorti du CEGEP de Chicoutimi, et ai par la suite poursuivi mes études. Bien que j'ai du (parfois par choix, parfois par obligation) me résigner à travailler de façon saisonnière afin de pouvoir poursuivre mes études, et que celles-ci ait pris plus de temps que le cursus régulier, ma combinaison de compétence m'a amené à intéresser un type d'employeur qui m'offre une qualité de vie bien supérieure à celle que j'avais connue auparavant.
Évidemment, bien des gens de ma promotion s'en sont tirés mieux que moi, et n'ont pas eu à retourner sur les bancs d'école pour une longue période de temps, mais je crois que mon choix de poursuivre mes études m'a donné plus de possibilité que ce que je n'aurais pu envisager autrement.
J'ai rencontré quelques autres personnes ayant suivi un parcours similaire au mien: je ne suis donc pas une exception...
Évidemment, bien des gens de ma promotion s'en sont tirés mieux que moi, et n'ont pas eu à retourner sur les bancs d'école pour une longue période de temps, mais je crois que mon choix de poursuivre mes études m'a donné plus de possibilité que ce que je n'aurais pu envisager autrement.
J'ai rencontré quelques autres personnes ayant suivi un parcours similaire au mien: je ne suis donc pas une exception...
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
pourquoi pas des etudes, rien ne s'y oppose
ca fera pas un meilleur pilote, ca fera un meilleur chef pilote ou fleet manager, ou dir ops ou alors tu seras capable de rediger un syllabus qui aura du sens donc tu feras partie des gens responsable du training, ce qui est aussi interressant; tu pourrais aussi calculer de nouvelles routes, rediger des check list un SOP, bref, tu rendras ton metier plus interressant au fur et a mesure que le temps passe et tu pourra pretendre a tous ces jobs qui seront surement interressants a prendre une fois la soixantaine passee, qui sait...
ca fera pas un meilleur pilote, ca fera un meilleur chef pilote ou fleet manager, ou dir ops ou alors tu seras capable de rediger un syllabus qui aura du sens donc tu feras partie des gens responsable du training, ce qui est aussi interressant; tu pourrais aussi calculer de nouvelles routes, rediger des check list un SOP, bref, tu rendras ton metier plus interressant au fur et a mesure que le temps passe et tu pourra pretendre a tous ces jobs qui seront surement interressants a prendre une fois la soixantaine passee, qui sait...

Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Je ne crois pas que quelqu'un puisse faire un diplôme universitaire dans l'unique but de mousser sa carrière en aviation. Ça va plus loin que ça. Les études aident à diversifier ses champs d'intérêt en plus d'amener l'étudiant à développer différentes approches vis-à-vis un problème. Pour ma part, j'adore mon travail de pilote mais force est d'admettre que la job n'est pas extrêmmement diversifiée et se déroule (en général) de la même façon jour après jour. Je crois qu'il est bon pour le moral de s'épanouir intellectuellement dans d'autres sphères de manière à ne pas perdre l'entrain au travail qui présente de moins en moins de défis au quotidien mais qui requiert encore des personnes très compétentes.
Lorsque j'ai commencé l'université à temps partiel en même temps que mon boulot, j'ai tout de suite senti une différence dans mon tempérament au travail et dans mon quotidien. Est-ce qu'il est possible d'atteindre le même but autrement? Surment. C'est cependant le moyen que j'ai trouvé et j'aime bien l'optique de pouvoir occuper 2 emplois non-connexes qui ''changeraient le mal de place'' et qui me permettraient de pouvoir dormir tranquille lorsque le prochain Milton va se pousser avec le fond de pension des employés ou que mon médecin va me faire passer des tests pour le diabète.
Lorsque j'ai commencé l'université à temps partiel en même temps que mon boulot, j'ai tout de suite senti une différence dans mon tempérament au travail et dans mon quotidien. Est-ce qu'il est possible d'atteindre le même but autrement? Surment. C'est cependant le moyen que j'ai trouvé et j'aime bien l'optique de pouvoir occuper 2 emplois non-connexes qui ''changeraient le mal de place'' et qui me permettraient de pouvoir dormir tranquille lorsque le prochain Milton va se pousser avec le fond de pension des employés ou que mon médecin va me faire passer des tests pour le diabète.
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Pour poursuivre dans le meme ligné ... j'ai un BAC ... au départ dans les cie de 1er niveau ca ne fait pas de différence ... mais plus tard oui ... imaginez que vous perdez votre médical ... ou que la cie slack des pilotes et que vous ne trouvez rien ailleur (j'en connais de Jetsgo qui sont allé travailler chez Home Depot ... très valorisant) ou (plus positif) que vous voulez pousser votre carrière en étant fleet captain ou Chef pilote ... pas sur que ça va vous tentez d'aller sur les bancs d'école entre 2 vols ... aussi les grosses compagnies ont des places limités parfois lors d'embauche ... un éducation supérieure peut aider.
Toutefois ... c'est un choix personnel avant tout
Toutefois ... c'est un choix personnel avant tout

Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
N'allez pas me pendre sur la place publique pour mes propos; mais dans mes souvenirs, l'idéologie qu'on tentait de nous instaurer était qu'avoir un diplôme d'études universitaires allait donner un gros avantage en applicant chez Air Canada. Semblait-il qu'il y avait 2 piles de CV, une avec et l'autre sans diplômes. Selon tout vraisemblance, c'était la voie rapide pour être embaucher. Cependant, si le but d'aller à l'université est uniquement d'augmenter ses chances d'entrer chez Air Can; vous le demanderez à ceux qui sont termine cette année leur BACC, cela prendra encore quelques années, alors que ceux qui se sont mis à la tâche de voler à fond en récoltent aujourd'hui le fruit. Par contre, des amis à mois qui finissent cette année leur génie mécanique ont scoré des emplois platine en aérospaciale et feront très certainement beaucoup plus d'argent que ceux qui ont atteint de plateau du gros transporteur rouge...
Tout est une question de choix...
Tout est une question de choix...
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
excellente remarque Mone et comme tu le dis il faut bien reflechir a ses choix avant de s'embarquer dans l'aventure des etudesCependant, si le but d'aller à l'université est uniquement d'augmenter ses chances d'entrer chez Air Can; vous le demanderez à ceux qui sont termine cette année leur BACC, cela prendra encore quelques années, alors que ceux qui se sont mis à la tâche de voler à fond en récoltent aujourd'hui le fruit. Par contre, des amis à mois qui finissent cette année leur génie mécanique ont scoré des emplois platine en aérospaciale
ca peut couter cher et durer longtemps, il faut avoir une idee bien precise de ce qu'on veut apprendre pour le futur.
j'ai crut entendre - mais je ne suis pas sur du tout- que le diplome d'etude superieures ouvrait toujours mieux les portes d'air canne ou autres 705, mais ca ne compensera pas pour l'absence d'experience de vol certain.
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Je voudrais aussi ajouter que dans toutes la variables à considerer avant d'entreprendre des études, il faut considérer le fait qu'il est possible d'avoir à abandonner le pilotage... comme les deux personne dont j'ai parlé dans mon commentaire précédent...
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Moi je finis mon cegep (sc. nature) cette session et je pense prendre des cours privées en automne si je ne suis pas pris a chicoutimi. C'est vrai que la question de me prendre un BAC avant me tourne beaucoup autour de la tete...Mais je crois plus m'alligner vers le pilotage et si jamais je perds mes licences et bien je me trouverais un travail dans le domaine ou peut-etre que je me ferais un DEP...
Re: Article Écrit dans le AAACQFA par un des finissants. À lire.
Pour ceux que ca intéresse allez voir le nouveau journal de l'AAACQFA deux articles font une réponse à l'article de la dernière parution. Je crois que ces 2 articles écrient par des pilotes d'expérience vous font voir l'autre côté de la médaille de faire un bac avec des licences de pilotes toutes fraîches.
http://tic.cegep-chicoutimi.qc.ca/cqfa/ ... ausite.htm
Fly first school after
Albator
http://tic.cegep-chicoutimi.qc.ca/cqfa/ ... ausite.htm
Fly first school after
Albator